Category: Actu

Le site de commerce en ligne a officiellement fait les frais de la décision de Bercy. Pointé du doigt pour ses produits dangereux, il n’apparaît plus dans les résultats des moteurs de recherches en ligne.

300 écoles maternelles de Séoul accueillent dans leurs classe “Alpha Mini”, un modèle de robot miniature. L’objectif est pédagogique, mais vise aussi à familiariser les enfants avec “un avenir de haute technologie”.

Ce dispositif, voté presque à l’unanimité en première lecture par l’Assemblée, doit attribuer à certaines plateformes en ligne un score de A à E, sur le modèle du Nutriscore. Il alertera les internautes sur la sécurisation de leurs données.

L’application de géolocalisation a installé plusieurs fonctions visant à améliorer la sécurité de ses utilisateurs piétons. Une option “rues principales” et une permettant de faire suivre son trajet ont ainsi été ajoutées.

Ce jeudi, le ministre de la Santé a annoncé l’ouverture à la vaccination pour une troisième dose à l’ensemble des plus de 18 ans. Doctolib a rapidement été surchargé.

L’Unesco a produit une recommandation de 28 pages, ratifiée par tous les États membres, concernant l’utilisation et l’éthique de l’intelligence artificielle, une technologie qu’elle juge profondément innovante mais émaillée de risques.

Dans le contexte d’un litige entre le géant américain et une compagnie de taxis bruxelloise, la justice a tranché en défaveur de Uber et lui demande d’arrêter ses services dès le 26 novembre au soir.

Comme lors de l’annonce de la généralisation du pass sanitaire, le site Doctolib est en première ligne sur les rendez-vous de troisième dose de vaccination. Cet après-midi, les internautes ont rencontré des difficultés pour s’y rendre. Pour vous aider, BFMTV a trouvé une astuce.

Olivier Véran l’a officiellement annoncé ce jeudi midi, la troisième dose de vaccin sera nécessaire pour pérénniser la validité de son pass sanitaire. Des conditions vouées à changer dès le 15 décembre pour les plus de 65 ans et le 15 janvier pour les autres.

Au moment des révélations sur l’affaire de cyberespionnage, la France s’apprêtait à mettre la main sur le logiciel Pegasus, commercialisé par l’entreprise NSO. Plusieurs pays avaient déjà passé le cap.