Bienveillance à tout va, body positive : a-t-on encore le droit de complexer ?

Oubliés Les Frustrés, de Claire Bretécher, à l’époque de la «body bienveillance» ? Si on a le droit d’être gros en 2021, il faut au minimum être drôle. ET si on exhibe ses cheveux blancs, c’est qu’on a le storytelling qui va avec. Les injonctions n’ont jamais été aussi paradoxales. Preuve que le corps est toujours au centre de notre rapport aux autres.