La section “cyber” du parquet de Paris a ouvert une information judiciaire sur le logiciel Pegasus qui aurait permis d’espionner notamment les numéros d’au moins 180 journalistes et 600 hommes et femmes politiques.
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La section “cyber” du parquet de Paris a ouvert une information judiciaire sur le logiciel Pegasus qui aurait permis d’espionner notamment les numéros d’au moins 180 journalistes et 600 hommes et femmes politiques.