Plusieurs influenceurs épinglés par la DGCCRF début juin ont minimisé les faits pour lesquels ils avaient dû afficher une injonction de cesser leurs pratiques commerciales trompeuses. Ce vendredi, Bruno Le Maire affirme à Tech&Co que “ce n’est pas aux gens qui ont commis des délits d’apprécier si c’est grave ou si ce n’est pas grave”.