L’entreprise avait déréférencé en avril dernier des vidéos pornographiques, plusieurs mois après avoir été sollicité par une femme, partie civile dans l’affaire French Bukkake. Un délai jugé trop tardif par la justice.
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L’entreprise avait déréférencé en avril dernier des vidéos pornographiques, plusieurs mois après avoir été sollicité par une femme, partie civile dans l’affaire French Bukkake. Un délai jugé trop tardif par la justice.