Critique. Le quatrième long-métrage d’Alex Lutz, en salles ce mercredi, sonde les méandres d’une Emma Bovary moderne, avec un peu trop de manières et de morosité.

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	Critique. Le quatrième long-métrage d’Alex Lutz, en salles ce mercredi, sonde les méandres d’une Emma Bovary moderne, avec un peu trop de manières et de morosité.
